Copie du communiqué de presse envoyé ce 29 janvier à FR3, France Bleu, l’Union,RCF, LHebdo du vendredi
COMMUNIQUE DE PRESSE
Oui, la démocratie est en danger. On le savait notamment quant à l’attitude des banques vis-à-vis du RN lors des présidentielles. On le sait moins au plan local. En voici l’illustration avec toutes les difficultés pour ouvrir un compte de campagne pour les municipales de Reims alors que c’est un droit et une obligation pour les élections dans les communes de plus de 9000h (art. L.52-6-1) afin de retracer les dépenses de campagne sans même qu’il y ait de prêt.
La démocratie est en danger quand on galère depuis le 14 décembre pour ouvrir un compte de campagne, Julie Philippo d’abord (au Crédit Agricole1) qui en a jeté l’éponge, puis moi-même (BNP Paribas2 dont je suis un vieux client) et Caisse d’épargne3).
Grâce à la décision écrite de refus qu’a eu l’honnête de me donner la Caisse d’Épargne le jour même du rendez-vous, soit le 23 après en avoir sollicité un une semaine avant, la Banque de France a pu être saisie le 244. Celle-ci a désigné la Société Générale, mais je n’ai de rendez-vous que le 6 février (sic).
Qu’en conclure ? Le Système, avec ses banques, est en train d’asphyxier la démocratie électorale pour imposer la pensée unique, comme il le fait dans la rue pour ce qui est du droit à manifester en tirant au LBD et à la grenade au TNT sur les Gilets jaunes et en faisant plus de 2500 blessés . On n’est pas loin du roman 1984 de Georges Orwell. Il vous reste encore le bulletin de vote.
Jean-Claude PHILIPOT
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1Avenue de Laon
2Rue Jean Jaures
3Rue de la Grosse Ecritoire ( motif donné oralement : il faut déjà avoir un compte dans l’établissement)
4Relancée téléphoniquement, la BNP Pariba m’a appelé le 24, puis apprenant que je me rendais à la Banque de France a fini par m’écrire qu’elle refusait de m’ouvrir un compte de campagne